Mission suicide [LIVRE]

Premier chapitre: Pour des doutes...



L'histoire commence dans une chambre miteuse avec pour seul meuble, un lit callé contre un bureau devant une petite chaise à coté d'une petite étagère rangeant 5 livres.

Un homme d'environ 35 ans à l'allure fine marchait de long en large,
passant devant sa fenêtre fermée par des vieux volets noirs, il fit un
demi-tour pour faire cinq pas et passer devant sa porte où était
scotchée une affiche d'un homme qui tirait des chaines. Il avait une
chevelure noir et sale, et avait une expression de folie et de colère
sur le visage.
Dessous sa photo était marqué cinq signes très
étrange, il resta regarder ces signes sans en comprendre le réel sens
et se retourna, continua de marcher, de se retourner, de marcher.
Jusqu'à qu'il entendit un pop sonore qui le fit se retourner brusquement,
tendant sa baguette magique noire avec des feuilles d'oliviers gravées
devant le cou de l'énergumène ayant transplané librement chez lui.

- Attention Gilles, tu pourrais blesser quelqu'un, dit calmement l'intrus comme si ce qu’il venait de faire était totalement normal.

- Michel ! Ca ne va pas! Cria Gilles.

Ce dernier baissa sa baguette avec précaution en la gardant dans la main
et regarda le reste de sa chambre comme si il s’attendait qu’il se
passe encore autre chose.

- Et pourquoi ça ? Demanda Michel d'un air perplexe.

- On n’entre pas chez une personne en claquant des doigts ! Cria-t-il en imitant le geste.

- Désolé, mais je ne voulais pas inquiéter les aubergistes en toquant à la porte à cette heure
vêtue de cette façon, expliqua-t-il à Gilles en montrant sa robe noire qui lui arriva aux genoux.

- Ah! Dit Gilles avec ironie. Tu ne voulais pas les inquiéter à cette heure. Continua-t-il sur le même ton en faisant un oui ironique de la tête.

- Oui, et bien? Demanda-t-il.

-Michel, il est à peine 18H, expliqua-t-il avec agacement.

-Oui, ça ne veux pas dire que ça ne les auraient pas fais peur en me voyant porter cette robe, commença à dire Michel avec un certain énervement de sa part.

- Certainement que non, rétorqua Gilles. Mais assied toi, je m'étonne que tu ne la pas encore fais, proposa-t-il.

Michel s'assit sur la vielle chaise en bois
proche du bureau pendant que Gilles en fit apparaître une en velours
par magie dont il s'y essaya, il regarda Michel avant de laisser sortir
un soupir d'exaspération c’est alors qu’il fit apparaître un second
siège et le mit à coté de Michel qui s'y installa.

- Voilà qui est mieux, dit-il en regardant Michel calé sur le siège. Tu veux une de mes bonnes vielles bouteilles d'hydromel ? Elles sont délicieuses.

- Je veux bien, accepta volontiers Michel.

Gilles fit apparaître une vielle bouteille poussiéreuse par magie.

- Merci, c'est gentil, mais d'où les a tu fais apparaître? Demanda-t-il, perplexe.

- De ma cuisine personnelle bien sûr! Déclara il en pointant son pouce en arrière, en désignant un mur de bois.

- Oui... Dit-il.

- Mais, dis moi, pourquoi es tu venue me voir, sa fais des années qu'on ne se voit plus et c'est cette années que tu viens ? Questionna Gilles, interloqué.

- Et bien... vois tu, tu dois être au courant qu'il se passe des événements étranges en...

- Je t'arrête de suite, j'ai rompue le contact avec le monde extérieur depuis des années, l'interrompit-il.

- Oui, enfin bref. En ce moment il se passe des événements bizarre, et je suis sur que c'est liée à Voldemort, reprit-il.

Gilles eu un rictus de peur avant de répondre.

- Ne prononce pas ce nom...

- Avoir peur d'un nom accentue... Commença-t-il.

- Épargne-moi le discours à la Dumbledore. Et puis, qu'est ce qui te fait croire ça ? Demanda-t-il.

- Je... Je ne peux pas le prouver, mais je sais que c'est lui, expliqua-t-il.

- Mais il n'a pas était tuer par Harry Potter ? Questionna-t-il, perplexe.

- Je sais, mais il est revenu d'entre les morts. Et il est loin d'être mort. Dit-il d'un air important.

- Et tu es venue pour me dire que tu à des doutes, c'est normal. Ironisa-t-il.

- Non, je voudrais que tu le trouve.

- Non, mais tu es malades! Tu veux que je tente une mission suicide en gros. Hurla-t-il en se
levant brusquement.

- Gilles... S'il te plait, si tu fais sa tu serais le héros de tous les sorciers.


- PPff... Pour des doutes !

- Tu seras payer de 10000 galions et tu recevras l'ordre de merlin première classe. Je t'en pris, c'est pour le bien de tous.

Gilles avais un air interrogateur.

- 10000 ga... galions? Balbutia-t-il.

- Oui, dès ta mission finie.

- Ca marche. Dit-il en une fraction de seconde. Mais par quoi je dois commencer?

- Je vais te donner une enveloppe où s'y trouve le dernier lieu où il était. Fin, je le pense...

Gilles pris l'enveloppe et la décacheta.
On y voyait un petit village.
Sur un petit mot était marqué: France, 41 boulevards de la chance.

- Je n'ai plus rien à faire ici, alors, au revoir. Déclara Michel.

- Au revoir.... Dit vaguement Gilles, occupé à regarder la photo.

Michel transplana et Gilles s'effondrât sur un des deux fauteuils en velours, lisant encore et encore l'enveloppe.

Chapitre 2: Une rencontre dont on se serrais bien passais.



Gilles était partie vers le petit village français, les deux mains sur le manche du vieux brossdur 5 qu'il avais acheté avec son maigre salaire de 25 galion par semaine.
Il portait un vieux sac a dos troué portant en son ventre une vielle bouteilles d'hydromel, quelque jus de citrouille, et plusieurs sorte de gâteau.
A chaque fois qu'il fessais un virage pour contourner un oiseau ou même un mouton son sac viré dans le sens inverse et il glissa un peu du vieux ballais endommagé.

Quelque heure après avoir finie sa pause et décoller en direction du sud, il vit un petit village.

Il quitta son ballais a une centaine de mètre de l'entrai.
-Bonsoir. Dit un passant qui était venue serrer la main à Gilles. Je vois que vous êtes un touriste, permettez moi de vous donnez ma carte. mais! J'oublie de me présenté! Louis Du Jardin, pour vous servir. Déclara il en lui tendant une carte blanche qui tenais du bout du majeur et de l'index.

*Ouais, plutôt pour me coller. Il peut pas me lâcher cette idiot de moldue français prétentieux. Pensa il, exaspéré par ses manière.

-Merci. Dit il en prenant la carte. * Ne pas oublié de la bruler * Je me présente, Gilles. * Jouons les aimables touristes en quêtes d'aventure * Pardonnez moi, mais on m'a dis qu'il c'est passé des événement étrange, et moi, petit anglais curieux, je voudrais savoir où sa c'est passé. Demanda il en rangeant la carte dans le poche de ses habits moldue acheter pour l'occasion.

-Oui... Oui. Dit il en essayant de se rappeler du lieu des événement. Eu... Vous avez un plan?

-Oui j'en ai une. * Et je félicite la personne l'ayant créé, il faut être fort pour faire une carte avec seulement 5 maison.* Pensa il en exagérant grandement * Tenez. Dit il en lui tendant une grande feuilles plié en quatre.

Louis mis des lunettes qui lui donné un air idiot et regarda la carte.
Il y désigna un point qui devais se trouver à 400 mètre devant eux.

-Vous devez vous dirigez au nord jusqu'à atteindre une vielle maison a la façade de pierre, mais je ne vous conseille pas d'y aller, je suis certains qu'elle vas s'écrouler d'un moment à un autres. Et en plus, je crois qu'elle es hantée. Mais faites moi le plaisir de venir dans mon hôtel/restaurant. Finit il par dire.

-J'y ferrais un saut. Bon au revoir et merci. Dit il en partant tout droits.

Au bout de cinq minute de marche interminable, Gilles se trouvas devant une maison à la peinture refaites es au mur en tuile.

*Eu... c'est sa qu'il appelle une vielle maison menaçant de s'écrouler?
Bon, vos mieux voir si je suis bien au nord.*

-Pointe au nord. Murmura il après avoir vérifié que aucun passant ne le voyait.
Il leva la tête et vie le derrière d'une flèche. * Sa a cette forme une flèche?* Pensa il avant de se tourner et de voir le petite pointe en direction d'une vielles demeure salis par le temps.

Gilles avais atteint la demeure après un peu plus de six ou sept minute de marche.
Il y était entré et marchait à travers les table poussiéreuse et les lampe éteinte et cassé ainsi que les mur tapissé de toile d'araignée.
Puis Gilles était entré dans une chambre autant meublé que celle où il y vivais à quelque centaine de kilomètre de chez lui.
Par rapport au autres pièce, celle la était propre; tout était à sa place et les seul trace montrant une quelle qu'on que marque de salle était une minuscule couche de poussiéreuse montrant que la pièce n'était pas entretenue depuis quelque jour. Trois grands maximum.

Gilles la fouilla, il savais qu'il n'allais pas voir un mort due a l'absence de marque des ténèbres.
Et il savais aussi qu'il n'allais pas voir de personne caché derrière une armoire, car si sa serais le cas, les anciens habitants non officiel se serrais dépêcher de mettre le bordel au lieu d'une très fine trace de poussière.

Gilles fouilla la pièce de fond en comble, il n'y trouva rien, une lampe avais était casser dans l'armoire caché sous un rideau bleu.
Il resté des débris de verre ainsi que des morceau de l'ampoule brisée, on pouvais en voir un avec une marque, un 5 encerclé plus exactement.
Gilles la mis dans la poche antérieur de son blouson noir.

Chapitre 3: Un rendez vous bien utile



Gilles était dans la rue, le croissant de lune éclairé les quelque coin d'ombre qui n'était pas éclairé par le soleil qui commencés à se coucher.
Marchant dans la rue, une main dans sa poche, l'autre tenant sa baguette, il regardais l'horizon, enfin...
Les quelque maison en face.

Farfouillant dans sa poche à la recherche de quelque gâteau à grignoté, il toucha à mainte reprise un petit objet fin.

Il le pris, constatant que ce n'était pas un biscuit mais la carte de l'hôtel du francais: Louis Du Jardin.

Il la lue et constata que l'hôtel s'appelait: Mas des vignes.

*Bon, un mas ici c'est comme cherché une aiguille dans planté dans son pouce. * Pensa il d'un air amusé.

Puis il se dirigea vers le Mas, il était facile à connaître l'endroit puis que l'itinéraire étais marqué dans le verso de la carte.

Il marcha pendant quelque minute vers le sud ouest quand il y trouva une sublime demeure de cinq étage en face d'un énorme jardin 'un vert clair magnifique.

Gilles était sous le charme, il aimé ses paysages coloré.

Il marcha encore cent mètre pour arriver devant une sublime porte de bois, il y entra et continua à marcher jusqu'au contoirs où l'attendais une très belle hôtesse au téléphone.


-Pardon, mais.. je cherche une chambre, n'importe la quelle. Dit il.

L'hôtesse qui ne le regardais pas et bougea sa main libre pour dire à Gilles d'attendre.

Étalé sur le contoirs à attendre la fin de l'appel interminable de l'hôtesse à quelqu'un qui devais certainement s'agir d'une amie, Gilles se redressa.

-Pardon, mais j'attends depuis au moins dix minute ici.

L'hôtesse mis sa main droite sur le téléphone et tournas la tête vers Gilles.

-Excusez moi, mais j'ai un appel important. Dit elle d'une voix aigüe.

-A oui? Mais bien sur! La nouvelle coupe de votre amie vas certainement révolutionner le monde de la coiffure! Suis je bête. Déclara il d'un ton exaspéré.

-Si... Commençât elle.

-Gilles! Tu es venue faire un tour à mon hôtel, comme c'est génial! Viens que je ta fasse visiter. Dit il d'un air enthousiaste.

-Eu... Non, sa seras inutile, je pré...

-Mais non, je veux absolument te le faire visiter. Aller, viens.

Gilles fut forcer de visiter l'immeuble en entier avant de pouvoir se reposer dans sa chambre payer par l'hôtel.

Un heure plus tard il y sortit et se dirigea vers le restaurant, Louis lui avais dis de venir mangé avec lui.

Il arriva donc à sa table, il fut étonner de ne voir que Louis, il pensais plutôt qu'il aurais invité d'autres personne se joindre à eux.

Il s'assit et pris le menu.


-Bonsoir Gilles. Sa va? Demanda il, ses lunettes sur le bout du nez.

-Oui sa vas très bien, et toi? Demanda il par politesse.

-Sa va. Répondit il.

-Super. Dit il d'un air faussement enjouais.

-Je pense qu'on peut commandais. Dit il en appelant le serveur qui arriva immédiatement.
Je voudrais un homard s'il vous plait. Dit il au serveur qui se tourna immédiatement vers Gilles.


*Si il crois que je vais me ruiner avec sa nourriture cinq étoile * Pensa il en lisant le menu.


-Je vais prendre une salade verte et un verre d'eau s'il vous plait. Dit au serveur qui pris
des notes puis partie dans la cuisine.

-Je vois que vous faites un régime. Dit Louis après la commande de Gilles.

-Oui, c'est sa. Un régime. Répondit il.


Le repas passa et ils arrivèrent au désert où Gilles ne commandas rien.


-Pardon, mais je voudrez savoir, vous connaissez la marque d'ampoule avec comme logo,
un cinq entouré d'un cercle? Demanda il, perplexe.

-Oui je le connais, c'est un magasin qui les vends à 300 mètre d'ici. Il s'appelle: Olivier.
-OK, merci. Bon je commence à être fatiguer, je crois que je vais aller dans ma chambre, merci encore. Dit il en sortant son porte feuille.

-O mais non, je vous invite! Dit il.

Gilles accepta et partie vers sa chambre, il ne voulais pas montrer qu'il était énervé car il avais pris une salade croyant qu'il n'aurais pas payer beaucoup.

Chapitre 4: Une visite familière.



La nuit passa à une vitesse hors du commun.
Gilles, qui n'arrivais pas à dormir chez lui, c'était endormis juste après que sa tête avais touché l'oreiller.

Quelque heure après l'horrible réveil l'ayant forcer à quitté son lit, il était dans le magasin d'ampoule nommé « Olivier ».
Il était petit, assez mal rangé et des milliers boite d'ampoule était entassé partout, certain était carré, d'autre ronde et certain triangulaire.

Gilles approché sa main d'un sonnette installé sur le bureau aussi mal rangé que la salle quand un vielle homme sortit de la salle portant des lunette rondes et un mètre à mesuré.

-Henry... Je savez que vous viendrez.
Attendais moi là, je vais chercher ce qu'il vous faut. Dit il à un jeune homme se trouvant à coté de Gilles juste avant de partir au milieu des boite entassé.

Il revenu quelque minute après et le jeune reçue un coup de jus due au contact de la boite.

-O... On dirais qu'une sensation de chaleur mes envahit... Murmura il avant de passer la porte.

-Alors, Gilles, je vous attendez... Déclara il.

-Oui... Dit il en prenant le morceau d'ampoule trouvé à la vielle bicoque visité hier.
Je voudrais savoir si vous savez à qui vous l'avez vendue.

-Au mon dieu... Comment peut on faire sa à une ampoule... Dit il, la larme au coin de l'oeil.
Eu... il y a combien de temps?

*A, sa...* Pensa il en essayant de se rappeler ce qu'il ne savais pas.

-Dans le courant de la semaine dernière je pense. * O! Le jeu de mot, je suis fort, j'ai même pas fais exprès. * Pensa il a propos du mot «courant».

-la semaine dernière j'en ai vendue à Henry Le matin, la personne que vous venez de voir.
A François Le grand et à un inconnue qui à refuser de me donner son nom. Dit il en disant le nom des personne sans aucune difficulté.

-Merci, je crois que j'ai plus rien à faire. Dit il en prenant le chemin de la sortie.

-Au revoir.

Gilles pris le chemin de la sortie, puis il se retourna car la boutique et le vendeur le rappelais quelqu'un. Mais qui.

Sur la façade il lue:

Olivier. Vendeur d'ampoule depuis 1850 après J.C.

* Mais à qui sa me fais penser...

Chapitre 5: La fin d'un calvaire.



Gilles c'était assis sur le banc d'un arrêt de bus à réfléchir.

Il savais que la personne ayant acheté l'ampoule de la vielle maison en
ruine était l'inconnue, mais il n'avais pas donné son nom, et sa
l'ennuyai fortement car il ne savais pas comment faire pour le
trouver.

Gilles sursauta tout à coup. Il venais de se souvenir des paroles de Michel
quelque jour plus tôt: « Je vais te donner une enveloppe avec
le dernier lieu où il était. »

Il y avais donc une autres lieu où il c'était trouvé.

Gilles sortit sa baguette et murmura un mot.

Quelque instant après un âne argenté sortit de la baguette, Gilles murmura
les mots:

-Michel, à tu due nouveau sur Tu-Sais-Qui?

Puis l'âne disparue.

Quelque seconde plus tard un ours argenté arriva avec la voix de Michel.

-Les endroits ou je pense qu'il es allé es dans les périnées, c'est
entre la France et l'Espagne. Attention c'est le lieu de vie des
quelque dernier géant encore vivant, je te souhaite bonne chance,
je sais que c'est pas facile.

Puis l'ours disparue.

Gilles
murmura un sort et il vu une flèche doré qui volé au dessus de lui
partir devant lui.

Gilles s'y dirigea sans s'arrêter pendant un kilomètre, puis à ce moment
il cria:

-Accio Brosdur!

Un balais arriva à pleines vitesse et se posa à la gauche de Gilles
qui l'enfourcha et partie encore plus vers le sud.

*Enfin débarrassé de ce village, il commencés à m'énerver avec leur
vie monotone. Pensa il dans un souffle de soulagement.